TalkieWalkie

Mieux vaut tard que jamais, l’agence Talkie Walkie vous présente ses meilleurs voeux pour l'année 2024 ! L’année 2023 a été bonne : nous avons eu la chance de travailler sur plusieurs beaux projets, pour Uniqlo, Hermès, Samsung, France Culture, Netflix, Rhodia... et nous avons eu l’occasion de faire de belles rencontres, dont deux nouveaux artistes qui ont rejoint l'agence : Quentin Schwab et Debora Szpilman. Cette dernière nous a fait le plaisir de réaliser notre carte de voeux, légère, conviviale, joyeuse, et qui exprime tout ce que nous vous souhaitons pour cette nouvelle année ! À très bientôt, Sarah et Edouard.

Dans le dernier hors série d'Elle Déco, Quentin Schwab et son style graphique informel et accessible amènent un ton détaché et décalé afin d’illustrer l’article traitant du problème des contrefaçons de meubles. À travers un trait vif et dynamique, les dessins font sourire au premier abord, mais cette approche humoristique invite à se questionner sur ce sujet plutôt délicat dans le monde du design.

Ce sont cette fois dans les pages du dernier New York Times que s’invitent les personnages de Debora Szpilman, qui a illustré la couverture de la section littéraire du journal américain. Malice et humeur constituent le coeur des visuels proposés par Debora, s’alignant parfaitement avec le ton de l’article traitant des mémoires des personnes les plus aisées de cette planète. Représentés avec de la couleur, ils se détachent des autres éléments des illustrations, en noir et blanc.

Pour débuter l’année, le Telegraph magazine a sollicité Bruno Mangyoku afin d’illustrer la couverture du premier numéro de 2024. Le visuel est conçu de manière à présenter une compilation d'événements ayant marqué l’année écoulée, mettant en scène les personnages clé de cette période, avec les références et attributs propres à chacun d’entre eux. Un brin ironique, sa rétrospective permet d’aborder avec légèreté et humour la nouvelle année, pour laquelle nous vous transmettons nos meilleurs vœux.

L’esprit de Noël est arrivé jusque dans les Bouillons Pigalle & République avec une nouvelle illustration de Jean-Michel Tixier, dont l’approche humoristique et décalée vient une fois de plus animer les restaurants parisiens. Nous en profitons pour vous souhaiter de joyeuses fêtes de Noël !

Presque 10 ans après leur première collaboration, Tyrsa et le pâtissier Benoît Castel s’associent à nouveau afin de proposer une bûche de Noël évoquant l’idée du partage et des retrouvailles, caractéristiques de cette fête. Un travail typographique et le savoir-faire culinaire se rencontrent dans cette pâtisserie finement réalisée. À travers sa singularité graphique, L’Entrenous célèbre le lien avec nos proches et invite à une expérience gustative unique.

En contiguïté avec la période annuelle du Beaujolais Nouveau, Jean-Michel Tixier s’est vu confier l’illustration des étiquettes de la cuvée “Que le Spectacle Commence” du vigneron naturel Jean-Claude Lapalu. Amateur de vin, et notamment de ce célèbre vigneron, Jean-Michel a pris un plaisir particulier à imaginer cette représentation figurative du nom de la cuvée. Théâtrale, burlesque, son étiquette renvoie à la fois aux festivités liées à la découverte du nouveau millésime ainsi qu’au moment de convivialité que permet le partage d’une bonne bouteille de vin.

Connue pour ses saveurs étonnantes et ses packagings pétillants, l’enseigne Les bières de Belleville a fait appel au studio Playground pour illustrer les étiquettes de leur bière au coing conçue en collaboration avec Le Supercoin. Une idée humoristique que Playground dépeint avec des couleurs vives et un graphisme frais et vivant, représentatifs du style du studio tout en s’inscrivant parfaitement dans le ton convivial et sémillant constituant le cœur de l’identité des Brasseries de Belleville.

Au cours de sa dernière collaboration avec le Parc Animalier de Sainte-Croix, Cruschiform donne une nouvelle vie à l’identité visuelle de cet espace naturel dédié à la préservation de la biodiversité et des spécimens en danger. D’une manière sensible et délicate, elle illustre le cadre unique offert par le lieu caractérisé par une réelle proximité avec les animaux. L’illustration immersive rend bien compte de cet aspect tout en mettant en avant la diversité de la faune et la flore.

Pour la Fashion Week Été 2023-2024, Hermès s'est associé à l’illustrateur Damien Cuypers, dont le trait est déjà bien connu dans le milieu de la mode. Cette fois-ci, il s’agit d’un projet grandeur nature dans la mesure où l’intégralité du showroom parisien d’Hermès rue Saint Honoré a été redessiné à échelle 1. Nul détail n’a été épargné, et ce jusqu’à la moindre petite gravure. Damien Cuypers a également illustré le communiqué de presse, en lien avec l’évènement, la touche finale d’un beau projet mené avec finesse et minutie.

C’est dans les Echos Weekend que s’invite cette fois le coup de crayon de Deborah Szpilman. De façon simple et efficace, elle illustre la tendance des tests MBTI, remis en question dans l’article. Son approche témoigne d’un certain recul, avec des illustrations amusantes néanmoins dotées d’un ton un brin critique. Ainsi, ses dessins répondent au propos défendu par la journaliste, qui dénonce les dangers de cette pratique du classement des gens par type de personnalité dans la sphère professionnelle.

Lors de sa dernière collaboration avec Crédit Agricole, Antoine Corbineau a conçu une série d’illustrations afin de d’amener vie et couleurs dans le Guide de la Communication Responsable réalisé par le groupe. Grâce à des compositions soignées et dynamiques ainsi qu’une palette variée, le résultat est ludique, attrayant et donne envie de perdre son regard dans la multitude de saynètes représentées au sein de chaque illustration.

Aujourd’hui, « Décroche », le premier roman graphique de Laurent Duvoux, voit le jour. Le sujet du deuil, ainsi que ceux de l’absence et de la reconstruction qui y sont associés, sont abordés avec pudeur et humilité… sans pour autant faire l’impasse sur un graphisme puissant, rendant les mots presque superflus. Les images prennent le dessus, à mi-chemin entre réalité et souvenirs, et nous plongent dans le touchant récit de Laurent.

Le coup d’envoi de la coupe du monde de rugby marque également le lancement de la gamme d’étiquettes de bières customisées par Jules Le Barazer pour la brasserie Soma. Le style de Jules gorgé d’humour avec toujours cette pointe de sel qui le distingue, s’inscrit dans la convivialité de l’évènement et amène d’emblée la bonne humeur au sein des consommateurs du produit. S’inspirant de sujets de société, il aborde de graves thèmes avec une légèreté qui incite tout de même à une réflexion plus en profondeur. Un travail qui est le parfait mélange entre ambiance festive et invitation au débat, caractéristiques du contexte offert par des retrouvailles autour d’une compétition sportive… dans l’environnement d’une brasserie, par exemple.

Le mois dernier, Stefan Glerum a collaboré avec le magazine hollandais Winq pour la création de la couverture de l’édition spéciale pride du magazine. Dans une illustration mêlant typographie, couleurs vives, scènes et personnages insolites, il dépeint avec brio l’ambiance festive pleine de bienveillance de cet événement emblématique pour la communauté queer. Son travail existe également grandeur nature sur la vitrine de la librairie Scheltema à Amsterdam à l’occasion de la sortie du numéro.

Depuis plusieurs années, le studio Playground Paris contribue à refléter le dynamisme et la convivialité qui caractérisent La Mad Jacques, un collectif prônant le voyage dans le respect de l’environnement sans se priver d’une bonne ambiance et de moments de partage. Des couleurs vives, un trait franc et surtout beaucoup de plaisir dans la réalisation de ces visuels nous embarquent dans une aventure unique à l’image de celles proposées par le collectif.

Ça y est, c’est la reprise… Mais Bruno Mangyuku prolonge encore un peu les rêveries estivales en réalisant, avec son approche poétique, la dernière couverture du journal Le Un. Son univers amorce avec douceur les thématiques abordées dans le cadre de la rentrée littéraire, que le personnage en vedette de la couverture incarne avec naturel et simplicité. Un travail fin sur le personnage qui invite le lecteur à s’y identifier, le temps de divaguer un instant avant de se remettre dans le rythme pour de bon.