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Ça y est, c’est la reprise… Mais Bruno Mangyuku prolonge encore un peu les rêveries estivales en réalisant, avec son approche poétique, la dernière couverture du journal Le Un. Son univers amorce avec douceur les thématiques abordées dans le cadre de la rentrée littéraire, que le personnage en vedette de la couverture incarne avec naturel et simplicité. Un travail fin sur le personnage qui invite le lecteur à s’y identifier, le temps de divaguer un instant avant de se remettre dans le rythme pour de bon.

C’est les vacances ! Nous prenons le large pour quelques semaines avec cette belle illustration de Kim Roselier pour le Don du Vent, un bateau au départ de Marseille. Rendez-vous en septembre avec plusieurs beaux projets à vous présenter !

À travers cette collaboration avec le groupe belge Weerts, dans le cadre de la réalisation de leur rapport d’activité, Jean-Michel Tixier a su illustrer avec finesse et une pointe d’humour les secteurs de la logistique, du sport automobile et des énergies renouvelables dans lesquels se spécialise entre autres la marque. Un challenge de taille relevé avec astuce, mais toujours dans la ligne de l’artiste en invoquant les codes de la bande dessinée belge avec notamment un clin d'œil au personnage de Michel Vaillant, conducteur automobile ayant marqué plus d’une enfance en Belgique et en France.

L'histoire se déroule cinq ans après Le Retour du Jedi et vingt-cinq ans avant Le Réveil de la Force et raconte les aventures d'un mercenaire mandalorien au-delà des territoires contrôlés par la Nouvelle République… Suite à la sortie de la dernière saison de la série produite par Disney, Bruno Mangyoku a pris beaucoup de plaisir à réaliser une affiche de sa vision du Mandalorian, à partager avec tous les fans de la saga Star Wars.

En couverture du supplément de l’édition spéciale BOOKS du Guardian, Debora Szpilman remplit une page entière d’amoureux de la littérature.

Stefan Glerum signe une nouvelle fois l’affiche du Festival Lente Kabinet à Amsterdam, qui accueille chaque année une sélection d’artistes internationaux, Djs, plasticiens, et performers. On retrouve son style si particulier mêlant entre autres des influences Bauhaus et du futurisme italien, et qui habille depuis près de 10 ans cet évènement !

Collaborateur régulier des différents titres du groupe So Press, Jules Le Barazer a une fois de plus agrémenté le média de son coup de crayon audacieux capable de faire passer avec humour et décalage des propos aussi variés qu'insolites. Pour So Good, il s’empare de sujets hétéroclites, comme les collectionneurs de data scientifique alimentant des bases de données publiques de manière passionnée et bénévole à partir de leur téléphone, ou la sexualité des vieux qui semble bien plus florissante que ce que l’on croit. Côté sport, Jules a également imaginé une illustration un poil grinçante mais toujours pleine d’esprit pour le titre So Foot, qui aborde le sujet des wikileaks et des supporters aigris qui se plaisent à modifier à tout va les biographies de leurs joueurs détestés.

Pour la troisième année consécutive, Playground signe la communication du Family Festival de la Fondation LV. La famille, toujours aussi pop et colorée, s’est agrandie et on découvre avec plaisir les nouveaux membres, résolument graphiques et gentiment perchés.

À l’occasion des 10 ans du Wanderlust à Paris, le rapper américain Action Bronson a pris les commandes de leurs cuisines en y proposant une carte street food dans la lignée de son fameux "Fuck that’s delicious". Le club parisien a ainsi demandé à Jean André de revisiter leur logo, et d'imaginer toute l'identité de l’évènement, autour du surnom d’action Bronson aka "el crocodilo".

Jean-Michel Tixier poursuit sa collaboration avec la marque Eric Bompard en signant un visuel à l’occasion du tournoi de tennis de Roland-Garros. Son élégante ligne claire y évoque le subtil équilibre entre sport et style, certes fragile, mais définitivement de mise à Roland-Garros !

Nous sommes ravis de vous annoncer l’ouverture prochaine de la plus grande exposition Jean Jullien, qui se déroulera à partir du 30 juin 2023 au Musée MIMA à Bruxelles.

Playground a collaboré avec Tiffany & co pour leur projet caritatif #reasonstosmile. Il signe une superbe animation, qui nous embarque avec une petite fleur de jasmin portée par le vent. Un joyeux voyage, qui parcourt tout en légèreté les tumultes de la ville de New-York !

Netflix a fait appel à Antoine Corbineau pour réaliser l’affiche du FYSEE TV 2023. Avec son habituel sens du détail et de la composition, Antoine a imaginé une scène foisonnante où l’on retrouve les plus grands succès de l’’année de la plateforme de streaming.

Stefan Glerum a réalisé une série d’illustrations pour le M, accompagnant un article sur la nouvelle grève des scénaristes à Hollywood. S’inspirant d'affiches de propagande et du constructivisme, il a choisi de représenter en ouverture la figure de l’écrivain, en chef de file du tumulte, grimpant des escaliers de scripts, armé d'une machine à écrire et d'un stylo démesuré !

Le Un propose chaque semaine plusieurs regards autour d’une question d’actualité. En pleine période de grève et à quelques jours du 1er mai, Ils ont demandé à Julien Pacaud d’illustrer la Une de leur dossier sur les contre-pouvoirs. Ils interrogent cette spécificité française : « comment se fait que le pays de Montesquieu (…) soit aujourd'hui l’une des démocraties où les contre-pouvoirs peinent le plus à se faire entendre? »

L’agence Bronx a fait appel à plusieurs artistes, dont Kim Roselier, pour la communication de la saison 23/24 de L’opéra Comique à Paris. Ces affiches très graphiques jouent sur la répétition d’un élément phare de chaque pièce, subtilement illustré par Kim.

Alexis Tyrsa a concu les titres de chaque épisode de SWARM, la nouvelle mini-série créée par Janine Nabers & Donald Glover. Dans une démarche « analogique », la série ayant été entièrement tournée en pellicule, Alexis a imaginé pour chacun des épisodes un titre sur mesure réalisé à la main, qu'il soit dessiné à la craie, peint à l'aquarelle, à l'acrylique ou découpé dans du papier.

Debora Szpilman collabore de nouveau avec Les Échos Week-End, en illustrant cette fois-ci le phénomène de l’After Work. Depuis la pandémie, les confinements et la généralisation du télétravail, les after works se sont réinvités dans le quotidien professionnel.